IMPREVU 2015

Imprévu 2015

IMPREVU 2014
PDF 2014

Imprévu 2014

IMPREVU 2013
PDF 2013

Imprévu 2013

IMPREVU 2012
ARCHIVES

Fermer DVD_2008

Fermer Groland

Fermer L'Hériboeuf

Fermer La CCLPHM

Fermer La Prog

Fermer La montempougne

Fermer Le festival 2006

Fermer Le festival 2007

Fermer Le festival 2008

Fermer Le festival 2009

Fermer Le festival 2010

Fermer Le festival 2011

Fermer Le tunnel

Fermer Tournoi

Fermer Vidéos

Diaporama

Fermer  Affiches

Fermer  Avant l'Imprévu 2005

Fermer  Boeuf de Camel

Fermer  Chicago Bues

Fermer  Clip Da Silva

Fermer  Groland

Fermer  Imprévu 2004

Fermer  Imprévu 2005

Fermer  Imprévu 2006

Fermer  Imprévu 2007

Fermer  Imprévu 2008

Fermer  Imprévu 2009

Fermer  Tournoi

musique.gifHERIBOEUF SONG

new.gifLa montempougne - Sa véritable histoire

LA VERITABLE HISTOIRE DE LA MONTEMPOUGNE

 

La Montempougne ne se vend pas, elle se raconte. Il faut le croire pour la boire. Et si ce pétillant naturel de "pougnes" est un mélange des saveurs de notre terre d'histoires, il invite à la convivialité, à la benaiserie; tout l'esprit est dans les bulles. Ce n'est pas pour rien qu'elle est devenue la boisson officielle du Nombril Monde.

 

 

 

LA VERITE HISTORIQUE

 

 La fabrication de la Montempougne est l'aboutissement de recherches historiques à partir de la découverte d’un parchemin du XV° siècle portant le sceau de Mathurin De La Touche et daté en 1428. A cette époque ce gentilhomme était établi à Pougne- Hérisson où il possédait une Maison Forte. Ce document trouvé par hasard en nettoyant les souterrains du logis ne suscita pas, au début, l'intérêt d'Ombilicologues préoccupés par d'autres découvertes. Il fut archivé et échappa par miracle à l'incendie qui ravagea la bibliothèque de la cité en 1989. La préposée au rangement, Christiane Dujardin, se souvenait du dessin d’un arbre tortueux porteur de gros fruits jaunes, de trois signes bizarres, «IV  L O », et d’un texte dont l’écriture lui était inconnue. Sa curiosité satisfaite, elle mit le document à l’abri des  poussières dans une boîte qu’elle posa sur la grande étagère de la cuisine de Robert Jarry .    

 

Ce ne fut que plus tard, en juillet 2004, dans les environs du village de Taizé Aizie, au cours des grands travaux dirigés par la Communauté de Communes Libre Pougne-Herisson Montemboeuf , que l'ingénieur Eric Sarraux creusant le tunnel passerelle reliant les deux capitales culturelles , découvrit une grotte à l'intérieur de laquelle se trouvaient un squelette, une boîte éventrée cerclée de métal rouillé qui contenait un parchemin, et la partie inférieure de l'humérus gauche d'une espèce de  bovidé.

 

 Un nettoyage rapide de l'os permit d'apercevoir à l'intérieur  du canal médullaire débarrassé de son bouchon d'argile, quelques  feuillets écrits, méticuleusement enroulés. Immédiatement le chantier fermé et sécurisé, la faculté des sciences de Montemboeuf dépêcha ses scientifiques et le laboratoire d'ombilicologie de Pougne-Hérisson ses ombilicologues. Tous les tests de datation, prélèvements d'ADN, analyses graphologiques, relevés de positions, photos du site, furent effectués sur le champ. Trois jours après dans la seule conférence de presse qu'elle accorda la Communauté de Communes Libre put annoncer la découverte du squelette d'un homme du Moyen-âge,  en excellent état de conservation dans une couche d'argile sèche près du lit de la Charente. Et ce fut tout car les travaux devaient reprendre rapidement.

 

Bien sûr, on savait, déjà grâce au carbone actif, que le squelette et le parchemin dataient de la même époque, c'est-à-dire du début

du XIII° siècle. De plus, les feuillets soigneusement étudiés semblaient être le carnet de route d'un certain Bruneau Lambret : des récits écrits en occitan dont celui d'un naufrage, d'une longue fuite, des notes sur des découvertes locales, mais surtout trois dates, toutes de 1244, dont une plus lisible : 16 mars 1244.

 

Nous étions pratiquement certains après la traduction des notes, que Bruneau Lambret était l'un des 4 cathares échappés du château de Montségur la veille de la reddition. La portée historique de cette stupéfiante découverte devenait fabuleuse. Toutes ces reliques furent entreposées avec mille précautions au Consulat du Groland chez "Mamie" à Montemboeuf , loin du regard des curieux, pour de plus amples investigations. Quant au parchemin, il intéressait particulièrement Arnaud de Basdebourg un ombilicologue de renom qui l'emporta à Pougne-Hérisson. De nombreux chercheurs accoururent à la faculté d'ombilicologie. Une foule d'hypothèses furent vérifiées, des conclusions irréfutables tirées.

 

Le parchemin de 1428 était  effectivement une copie de celui de 1244. Mathurin de La Touche l'avait trouvé dans une malle appartenant à son trisaieul Célestin de La Touche, accompagné d’un procès verbal de l'époque qui expliquait l'arrestation de Bruneau Lambret en août 1244. Noblesse oblige, le gentilhomme conservateur s'était attaché à ce bien familial et l'avait fait reproduire. En ce temps là, à Pougne-Hérisson, l'abbé Vitray ,homme de grande piété et de transparence, avait acquis une certaine notoriété dans la restauration et la copie de documents anciens. Utilisant les dons de quelques moines anonymes, il avait rendu à son seigneur un chef-d'œuvre de reproduction du fameux parchemin.

  

Nous sommes en présence aujourd'hui d'une découverte qui marquera le XXI° siècle. Revenons à la cassette en bois cerclée de fer que Bertrand Marty l'évêque Cathare confia à Bruneau Lambret le 15 mars 1244, la veille de la reddition du château de Montségur. Ce parchemin est assurément le secret des Parfaits, leur trésor peut-être....

 

Ainsi, La Montempougne, cet élixir qui donne force et vie,  est en réalité, c'est presque une certitude, le graal des Cathares. Et personne de nos jours, même s'il tend à la perfection, à part quelques druides ou druidesses de la « Com.-Com. », n'est capable de réaliser ce breuvage Parfait à base de pétillant naturel de « Poumes » et de l'imprévu Cognac rehaussé par les senteurs exotiques de la fleur de Nombril et de l'extrait d'herbe à Robert. On peut dire, par pur respect de la vérité historique, que nous avons tous quelque chose de Bruneau Lambret ....

 

  

 

LA PREUVE SCIENTIFIQUE

  

De Montemboeuf à Pougne-Hérisson, l'espace culturel à ciel ouvert exhale en permanence le parfum du Gus et de la fleur de Nombril, phéromones nourricières de la « benaiserie participative ».

 

Lors des travaux du creusement du tunnel, nous fûmes surpris de trouver dans les déblais d'imposantes racines. Deux botanistes rompus au terrain, les frères Cousin,  affirmèrent qu'il s’agissait de la même  plante. Ils approfondirent leur découverte et constatèrent au puits Charly qu'il s'agissait du Gus, la célèbre vigne de Montemboeuf, haut lieu de pèlerinage depuis l'Antiquité. Mais chose extraordinaire sur le site du Nombril, ces mêmes racines formaient un énorme entrelacs avec celles du « Poumaé » plein vent et plein d'histoires de Pougne-Hérisson.

  

Nous venions de comprendre le secret de ces gros fruits jaunes uniques en leur genre, en découvrant la symbiose racinaire qui liait les deux végétaux. Songez que cette association de deux êtres vivants ayant besoin l'un de l'autre pour vivre bénéficiait de la qualité exceptionnelle de l'eau de la nappe phréatique de Pougne-Hérisson, la première d'Europe, et des vapeurs enrichissantes du minerai de contes. L'analyse des oligo-éléments concentrés dans le fruit éloignait tous les doutes. Nous pouvons affirmer que l'élixir de Gâtine qui grandit les enfants et fortifie la mine, donne bien force et invincibilité pour peu que l'on sache doser l'extrait d'herbe à Robert, le géranium sanguinéum  aux vertus magiques *.

 

S'agit-il vraiment du graal des Cathares ? Nous le pensons mais n'en dirons pas plus car dans l'ombre, à Pétosse ou ailleurs le Malin s'ingénie à la contrefaçon. 

 

*Les frères Cousin émirent une autre hypothèse car cette symbiose les tracassait et ils voulaient en avoir le cœur net :

 

- Est-ce que le « poumae » » plein vent et plein d’histoires, sur le territoire du Nombril, est une mutation du Gus, car on sait qu’au XV° siècle la vigne était déjà présente dans la plaine de l’Arcis et autour du château d’Hérisson, ou au contraire, est-ce que le Gus si prolifique ne trouve pas toute sa vigueur dans la nourriture particulière du « poumae » ?

 

Des rumeurs dans la mémoire collective parlent d’une lignée de jardiniers au XIX° siècle atteinte de père en fils de tendinites chroniques du coude. Il se dit en effet que pour exorciser leur mal, ils auraient arraché sans pitié tous les pieds de Gus et que la plante sacrée, pour échapper au désherbage systémique, aurait pris l’apparence du poumae. Mais ceci est une autre histoire ...

                                                                                            René Courtade

                                                                                            ( Co-président de la ComCom ) 


Date de création : 02/11/2006 @ 18:31
Dernière modification : 02/11/2006 @ 18:40
Catégorie : La montempougne

Imprimer l'article Imprimer l'article

 
Le COIN de la ZIC
Recherche



Nous contacter
Poitou-Charentes

l'Imprévu

avec le

concours financier

de la région

logo_poitou_charente.jpg

Partenaire ERDF

ERDF partenaire

de 

l’Imprévu festival

 Cliquer pour accès

Visites

   visiteurs

   visiteurs en ligne

W3C CSS Adaptation Skins Papinou © 2007 - Licence Creative Commons
^ Haut ^